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Notre-Dame aux Nonnains à Troyes (actuelle préfecture)

Ecole française du XVIIIe siècle

Demande d'informations

Signature illisible en bas dans une pierre de corniche. Annotée en bas à droite à l'encre brune : " Sous les dessins et conseils de Monsieur de Labrière architecte "
Plume, encre noire, lavis de gris et aquarelle sur deux feuilles juxtaposées
Hauteur : 38,5 cm - Largeur : 65,5 cm
Vers 1778
Petites traces de rousseur, petits trous en haut à droite. Dans un encadrement en bois mouluré, sculpté et doré de frise de perles et de rais de coeur d'époque Louis XVI

Légendée à la plume dans la partie inférieure "Vue de Labbaye de Notre Dame au Nonnains de Troye Le Jour De La Pose de la Première Pierre Faite Par Madame Victoire de France Représenté Par Madame de Mont Morin Le Premier avril 1778", et, présentant au centre, à l'encre et au lavis en grisaille, les armes des Créquy surmontées d'une couronne comtale et encadrées d'une allégorie de l'architecture.

Au musée Saint-Loup de Troyes est conservé un dessin très semblable au nôtre, jusqu'à l'erreur de date. En effet cet événement a eu lieu le 30 avril et non le 1er.

Néanmoins, trois différences sont à noter : le manque de certaines figures, l'absence de signature, et les armes de la famille de Créquy remplacées par les chiffres de l'abbesse.

Un autre est conservé aux archives de l'Aube présentant lui aussi quelques variations.

Notre dessin, admirable tant pour son aspect historique qu'esthétique a été exécuté avec dextérité, talent et humour dans un format inhabituellement important. En mêlant dessin d'architecture et scène de genre, il est un beau témoignage de ce que pouvait être un tel événement à la fin du XVIIIe siècle.

Alexandre-Louis Etable de La Brière :

Alexandre-Louis Etable de Labrière est surtout connu pour avoir dessiné à Versailles-Montreuil, le parc du domaine de Madame Elisabeth, sœur de Louis XVI, entre 1772 et 1782, lorsqu'il était architecte du Roi.

Il fut un architecte réputé : il devint architecte de la Vénerie du Roi en 1786 et travailla pour le comte d'Artois à Bagatelle, pour le comte de Vaudreuil, le prince de Luxembourg, le duc de Lauzin et les Guéménée, avant leur banqueroute.

 

Historique de l'Abbaye Notre-Dame aux Nonnains :

L'abbaye Notre-Dame aux Nonnains, que l'histoire fait remonter à l'époque gallo-romaine, fonctionne en tant qu'institution religieuse pendant le règne de Charlemagne. C'est la plus importante abbaye du diocèse de Troyes.

Le 23 juillet 1188, lors des foires de Troyes, un violent incendie détruit les plus beaux édifices de la ville. La cathédrale et l'abbaye Notre-Dame aux Nonnains sont la proie des flammes. Plusieurs religieuses périssent et toutes les archives partent en fumée.

Le comte de Champagne fait alors reconstruire l'abbaye, tandis que l'évêque Manassés renouvelle les privilèges des religieuses.

Plusieurs fois élevée et remaniée, construite de craie ou de torchis, l'abbaye accueille une communauté de religieuses dont les démêlés avec la papauté et l'évêché sont parfois vifs, au point d'entraîner leur excommunication en 1448. Cette sanction semble mettre fin aux désordres et les archives ne mentionnent plus guère que les querelles d'investitures.

A la fin du XVIIème siècle, l'église et les bâtiments conventuels, qui datent du moyen-âge, sont dans un état déplorable de vétusté.

Les rénovations partielles se succèdent jusqu'à ce que l'abbesse Françoise-Lucie de Montmorin obtienne finalement du roi les subsides nécessaires au relèvement de l'abbaye. Elle fait appel à l'architecte parisien Alexandre-Louis Etable de La Brière : ainsi le 30 avril 1778, et non le 1er avril, la première pierre est posée en grande pompe par la Marquise de Montmorin, belle-soeur de l'abbesse, en procuration de Madame Victoire de France, tante du Roi.

Malgré l'enthousiasme des débuts, les travaux s'arrêtent dès 1781, faute de crédits. Des quatre corps de logis projetés par La Brière, seul celui du nord est achevé. Celui regardant la place Notre-Dame n'est pas terminé et les deux ailes projetées sont réduites. Une partie des bâtiment médiévaux est conservée et reste en place jusqu'au règne de Louis-Philippe.

Les vingt-sept religieuses présentent sur les lieux lors de la Révolution française demeureront dans l'abbaye jusqu'à sa confiscation en 1792. Après leur départ, le mobilier du couvent et de l'église disparaît sous le feu des enchères.

Au fil des années, l'abbaye Notre-Dame aux Nonnains ne sert plus que de dépôt, de gîtes d'étape, de bibliothèque, de musée et de dépôt d'archive. Dans les greniers s'entassent des objets précieux et des livres enlevés aux églises et aux abbayes environnantes.

En 1794, l'Etat, propriétaire de l'ancienne abbaye, la cède en partie au département, moyennant un loyer annuel de 1113 F.

En 1838, face au délabrement des bâtiments, le Conseil Général régularise la façade et établit devant elle une cour d'honneur fermée d'une grille reliée à deux petits corps de garde. Le bâtiment conservera cet aspect jusqu'en 1892.

Le 7 mai 1892, la préfecture est victime d'un incendie qui ravage les combles et la partie nord.

Il est alors question de réhabiliter l'ancienne abbaye. En 1894, après examen de nombreux projets architecturaux, l'opération est confiée à monsieur Drouard, architecte départemental. Le chantier durera cinq ans mais dès 1896 les travaux sont suffisamment avancés pour que l'administration préfectorale puisse entrer dans ses nouveaux murs.

Ce monument reçoit alors plusieurs modifications surtout ornementales.

Aujourd'hui encore, la préfecture de l'Aube réside dans l'ancienne abbaye Notre-Dame aux Nonnains.

 

La pose de la première pierre du nouveau batiment :

Cette cérémonie s'est déroulée le 30 avril 1778 entourée de la plus grande solennité, avec de grandes processions accompagnées de musiciens et de choeurs. Elle a été présidé par Monseigneur Claude-Matthias-Joseph de Barral, évêque de Troyes, revêtu de ses habits pontificaux, avec son cortège ordinaire, précédé des grands archidiacres, des vicaires généraux, du chapitre de l'église-cathédrale...

La liste des personnalités présentes, aussi bien hommes d'église que laïcs, est grande. Mais il faut imaginer également une multitude innombrable de personnes de tout âge, sexe et conditions, de la ville et des faubourgs, que l'amour et l'attachement pour leur Roi avaient attiré à la cérémonies faite au nom de la princesse. Ils remplissaient les places, bordaient les rues et garnissaient les fenêtres de tous les étages des maisons.

Madame Victoire-Louise-Marie-Thérèse de France, fille de Louis XV et tante de Louis XVI, voulait donner à l'abbaye royale de Notre-Dame aux Nonnains des marques de sa bienveillance, et à l'abbesse de Montmorin, une preuve de l'estime qu'elle avait pour sa personne. Elle résolu de lui faire l'honneur de poser la première pierre du nouveau bâtiment. Mais des circonstances particulières s'opposent à ce qu'elle exécute cette cérémonie. Elle charge alors la Marquise de Montmorin, belle-soeur de l'abbesse, de la représenter.

En plus des armes de Madame Victoire de France, de celles de la Marquise de Montmorin unies à celles de son mari et de celles de l'abbesse, était gravé sur la pierre l'inscription suivante : “ Ce Monastère a été bâti des libéralités de Louis XVI, La première Pierre a été posée le trente Avril mil sept cent soixante-dix-huit, par Très Haute et Très Puissante et Excellente Dame Victoire Louise Marie-Thérèse de France, Tante du Roi, Protectrice et Bienfaitrice de cette Maison. Elle a été représentée par Dame Marguerite Morin de Banneville, épouse de Messire Jean-Baptiste François Marquis de Montmorin Chevalier-Commandeur des Ordres du Roi, Gouverneur des Ville et Château de Fontainebleau, capitaine des Chasses de Sa Majesté et Lieutenant-Général de ses Armées. Madame Françoise-Lucie de Montmorin, Abesse de cette Abbaye. La Pierre a été Bénite par Monseigneur Claude Matthias-Joseph de Barral, Evêque de Troyes, en présence du Chapitre de la Cathédrale et du Corps Municipal. La construction a été faite sur les Plans, et sous la direction de M.Louis de la Brière : Inspecteur, le Sieur Gentil ;et bâti par Gaugé, Maître Maçon de Paris.”

Comme nous pouvons le voir sur notre dessin, pour exécuter la cérémonie, tous les instruments nécessaires étaient placés sur une table disposée à cet effet à côté du lieu où devait être placé la première pierre. Les ouvriers travaillant aux fondements du nouveau bâtiment, étaient rangés en ordre, ayant à leur tête les chefs de l'entreprise. Ces instruments ont été pris du dessus de la table par Monsieur Gaugé, Maître maçon, et qui les a remis successivement dans les mains de monsieur Gentil, inspecteur des ouvrages, lequel les a mis en main de monsieur de la Brière, architecte de l'abbesse. Ce dernier les a présentés à madame la marquise de Montmorin, qui les a reçus, et s'en est servi en posant cette première pierre. Après la cérémonie, Monseigneur l'évêque a récité l'Oraison utilisé en pareille circonstance et a fini par donner la bénédiction pontificale au son des fanfares, trompettes, tambours et autres instruments. Ils repartirent en procession jusqu'à l'église, comme à l'aller.

Le soir fut tiré un feu d'artifice devant l'appartement de la marquise de Montmorin. Le lendemain une messe fut dite pour sa Majesté et la Famille Royale, après laquelle eu lieu une distribution de pains aux pauvres.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Au musée Saint-Loup de Troyes est conservé un dessin très semblable au nôtre, jusqu'à l'erreur de date. En effet cet événement a eu lieu le 30 avril et non le 1er.

Néanmoins, trois différences sont à noter : le manque de certaines figures, l'absence de signature, et les armes de la famille de Créquy remplacées par les chiffres de l'abbesse.

Un autre est conservé aux archives de l'Aube présentant lui aussi quelques variations.

Notre dessin, admirable tant pour son aspect historique qu'esthétique a été exécuté avec dextérité, talent et humour dans un format inhabituellement important. En mêlant dessin d'architecture et scène de genre, il est un beau témoignage de ce que pouvait être un tel événement à la fin du XVIIIe siècle.

Alexandre-Louis Etable de La Brière :

Alexandre-Louis Etable de Labrière est surtout connu pour avoir dessiné à Versailles-Montreuil, le parc du domaine de Madame Elisabeth, sœur de Louis XVI, entre 1772 et 1782, lorsqu'il était architecte du Roi.

Il fut un architecte réputé : il devint architecte de la Vénerie du Roi en 1786 et travailla pour le comte d'Artois à Bagatelle, pour le comte de Vaudreuil, le prince de Luxembourg, le duc de Lauzin et les Guéménée, avant leur banqueroute.

 

Historique de l'Abbaye Notre-Dame aux Nonnains :

L'abbaye Notre-Dame aux Nonnains, que l'histoire fait remonter à l'époque gallo-romaine, fonctionne en tant qu'institution religieuse pendant le règne de Charlemagne. C'est la plus importante abbaye du diocèse de Troyes.

Le 23 juillet 1188, lors des foires de Troyes, un violent incendie détruit les plus beaux édifices de la ville. La cathédrale et l'abbaye Notre-Dame aux Nonnains sont la proie des flammes. Plusieurs religieuses périssent et toutes les archives partent en fumée.

Le comte de Champagne fait alors reconstruire l'abbaye, tandis que l'évêque Manassés renouvelle les privilèges des religieuses.

Plusieurs fois élevée et remaniée, construite de craie ou de torchis, l'abbaye accueille une communauté de religieuses dont les démêlés avec la papauté et l'évêché sont parfois vifs, au point d'entraîner leur excommunication en 1448. Cette sanction semble mettre fin aux désordres et les archives ne mentionnent plus guère que les querelles d'investitures.

A la fin du XVIIème siècle, l'église et les bâtiments conventuels, qui datent du moyen-âge, sont dans un état déplorable de vétusté.

Les rénovations partielles se succèdent jusqu'à ce que l'abbesse Françoise-Lucie de Montmorin obtienne finalement du roi les subsides nécessaires au relèvement de l'abbaye. Elle fait appel à l'architecte parisien Alexandre-Louis Etable de La Brière : ainsi le 30 avril 1778, et non le 1er avril, la première pierre est posée en grande pompe par la Marquise de Montmorin, belle-soeur de l'abbesse, en procuration de Madame Victoire de France, tante du Roi.

Malgré l'enthousiasme des débuts, les travaux s'arrêtent dès 1781, faute de crédits. Des quatre corps de logis projetés par La Brière, seul celui du nord est achevé. Celui regardant la place Notre-Dame n'est pas terminé et les deux ailes projetées sont réduites. Une partie des bâtiment médiévaux est conservée et reste en place jusqu'au règne de Louis-Philippe.

Les vingt-sept religieuses présentent sur les lieux lors de la Révolution française demeureront dans l'abbaye jusqu'à sa confiscation en 1792. Après leur départ, le mobilier du couvent et de l'église disparaît sous le feu des enchères.

Au fil des années, l'abbaye Notre-Dame aux Nonnains ne sert plus que de dépôt, de gîtes d'étape, de bibliothèque, de musée et de dépôt d'archive. Dans les greniers s'entassent des objets précieux et des livres enlevés aux églises et aux abbayes environnantes.

En 1794, l'Etat, propriétaire de l'ancienne abbaye, la cède en partie au département, moyennant un loyer annuel de 1113 F.

En 1838, face au délabrement des bâtiments, le Conseil Général régularise la façade et établit devant elle une cour d'honneur fermée d'une grille reliée à deux petits corps de garde. Le bâtiment conservera cet aspect jusqu'en 1892.

Le 7 mai 1892, la préfecture est victime d'un incendie qui ravage les combles et la partie nord.

Il est alors question de réhabiliter l'ancienne abbaye. En 1894, après examen de nombreux projets architecturaux, l'opération est confiée à monsieur Drouard, architecte départemental. Le chantier durera cinq ans mais dès 1896 les travaux sont suffisamment avancés pour que l'administration préfectorale puisse entrer dans ses nouveaux murs.

Ce monument reçoit alors plusieurs modifications surtout ornementales.

Aujourd'hui encore, la préfecture de l'Aube réside dans l'ancienne abbaye Notre-Dame aux Nonnains.

 

La pose de la première pierre du nouveau batiment :

Cette cérémonie s'est déroulée le 30 avril 1778 entourée de la plus grande solennité, avec de grandes processions accompagnées de musiciens et de choeurs. Elle a été présidé par Monseigneur Claude-Matthias-Joseph de Barral, évêque de Troyes, revêtu de ses habits pontificaux, avec son cortège ordinaire, précédé des grands archidiacres, des vicaires généraux, du chapitre de l'église-cathédrale...

La liste des personnalités présentes, aussi bien hommes d'église que laïcs, est grande. Mais il faut imaginer également une multitude innombrable de personnes de tout âge, sexe et conditions, de la ville et des faubourgs, que l'amour et l'attachement pour leur Roi avaient attiré à la cérémonies faite au nom de la princesse. Ils remplissaient les places, bordaient les rues et garnissaient les fenêtres de tous les étages des maisons.

Madame Victoire-Louise-Marie-Thérèse de France, fille de Louis XV et tante de Louis XVI, voulait donner à l'abbaye royale de Notre-Dame aux Nonnains des marques de sa bienveillance, et à l'abbesse de Montmorin, une preuve de l'estime qu'elle avait pour sa personne. Elle résolu de lui faire l'honneur de poser la première pierre du nouveau bâtiment. Mais des circonstances particulières s'opposent à ce qu'elle exécute cette cérémonie. Elle charge alors la Marquise de Montmorin, belle-soeur de l'abbesse, de la représenter.

En plus des armes de Madame Victoire de France, de celles de la Marquise de Montmorin unies à celles de son mari et de celles de l'abbesse, était gravé sur la pierre l'inscription suivante : “ Ce Monastère a été bâti des libéralités de Louis XVI, La première Pierre a été posée le trente Avril mil sept cent soixante-dix-huit, par Très Haute et Très Puissante et Excellente Dame Victoire Louise Marie-Thérèse de France, Tante du Roi, Protectrice et Bienfaitrice de cette Maison. Elle a été représentée par Dame Marguerite Morin de Banneville, épouse de Messire Jean-Baptiste François Marquis de Montmorin Chevalier-Commandeur des Ordres du Roi, Gouverneur des Ville et Château de Fontainebleau, capitaine des Chasses de Sa Majesté et Lieutenant-Général de ses Armées. Madame Françoise-Lucie de Montmorin, Abesse de cette Abbaye. La Pierre a été Bénite par Monseigneur Claude Matthias-Joseph de Barral, Evêque de Troyes, en présence du Chapitre de la Cathédrale et du Corps Municipal. La construction a été faite sur les Plans, et sous la direction de M.Louis de la Brière : Inspecteur, le Sieur Gentil ;et bâti par Gaugé, Maître Maçon de Paris.”

Comme nous pouvons le voir sur notre dessin, pour exécuter la cérémonie, tous les instruments nécessaires étaient placés sur une table disposée à cet effet à côté du lieu où devait être placé la première pierre. Les ouvriers travaillant aux fondements du nouveau bâtiment, étaient rangés en ordre, ayant à leur tête les chefs de l'entreprise. Ces instruments ont été pris du dessus de la table par Monsieur Gaugé, Maître maçon, et qui les a remis successivement dans les mains de monsieur Gentil, inspecteur des ouvrages, lequel les a mis en main de monsieur de la Brière, architecte de l'abbesse. Ce dernier les a présentés à madame la marquise de Montmorin, qui les a reçus, et s'en est servi en posant cette première pierre. Après la cérémonie, Monseigneur l'évêque a récité l'Oraison utilisé en pareille circonstance et a fini par donner la bénédiction pontificale au son des fanfares, trompettes, tambours et autres instruments. Ils repartirent en procession jusqu'à l'église, comme à l'aller.

Le soir fut tiré un feu d'artifice devant l'appartement de la marquise de Montmorin. Le lendemain une messe fut dite pour sa Majesté et la Famille Royale, après laquelle eu lieu une distribution de pains aux pauvres.

 

 

 

 

 

 

 

 

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