Une oeuvre perd facilement son identité. Nos compétences dans la recherche nous ont déjà permis de faire de belles découvertes et de remettre certaines oeuvres à leur juste place et ainsi les valoriser.
Nous vous proposons nos services d'expertise et de conseil tant pour l'achat que pour la vente.
Nous effectuons également des inventaires en vue de partage, d'estimation, de vente ou d'assurance.
Pour plus de détails sur notre façon de travailler, pour une expertise gratuite sur photo, nous vous invitons à prendre un premier contact avec nous directement en cliquant ici.
Chaque oeuvre a sa propre façon d'être vendue
Ces système de vente privée ont comme avantage de garder une exclusivité, une discrétion et une privatisation de l'objet et de sa vente, très appréciée et recherchée des collectionneurs qu'ils soient vendeurs ou acheteurs.
A l'inverse des ventes publiques, si une transaction n'aboutit pas, cela n'a pas d'incidence sur la valeur de l'oeuvre.
Nous nous mettons d'accord sur un prix et je vous achète l'oeuvre
Le courtage consiste à conseiller puis à acheter ou à vendre pour le compte d'un particulier ou d'une entreprise, afin de valoriser/compléter une collection, de faire fructifier un investissement ou d'investir dans un placement financier avantageux.
Nous travaillons en courtage avec un réseau de collectionneurs ou d'investisseurs. En nous entourant de professionnels compétents, nous avons su créer un climat de confiance avec notre clientèle française et étrangère.
Dans certains cas, la vente aux enchères peut-être la meilleure solution pour acheter ou pour vendre, mais il faut attentivement étudier le marché avant d'agir car une erreur peut-être fatale.
Je travaille en partenariat avec des commissaires-priseurs sélectionnés qui ont chacun leurs méthodes de travail et leurs spécialités. Nous vous proposons donc de travailler avec la maison de vente aux enchères la plus adaptée. Ainsi, je vous fait profiter de frais de ventes avantageux et d'un suivi complet et amélioré.
Des avantages qui ne se retrouvent dans nul autre domaine
L'art demeure non seulement une valeur refuge, mais offre aussi une possibilité de diversifier son patrimoine et une solution de placement et de rendement élevé, moins risqué que les actifs financiers.
Posséder une oeuvre d'art, c'est une façon de mêler plaisir et patrimoine.
Une oeuvre d'art procure de nombreux avantages et de plaisirs. Elle décor et meuble son intérieur, rappelle et affirme un souvenir, un lieu, une époque, la prouesse de l'artiste épate et surprend. Pour certaines personnes elle est un prestige social évident. Nul ne se lasse de contempler un oeuvre chez lui, encore faut-il l'avoir acheté intelligemment.
La possession d'une collection judicieusement constituée ainsi qu'un placement ciblé, offre également des avantages fiscaux.
Les oeuvres d'art bénéficient d'une fiscalité relativement souple tant à l'achat qu'à la revente. A la revente, plusieurs cas de figure peuvent se présenter. Si la valeur d'une oeuvre ou d'un objet n'excède pas 5 000 euros, aucune taxe n'est due. Il en va de même si l'objet est détenu depuis plus de vingt-deux ans.
Si vous revendez en-deçà de ce délai une pièce dont la valeur dépasse la barre des 5 000 euros, deux solutions s'offrent à vous : Soit payer une taxe forfaitaire de 6,5% sur le prix de vente obtenu. Soit payer une taxe sur la plus-value réalisée. Celle-ci s'élève à 34,6% au terme d'une année de détention, mais décroit ensuite de 5% par an après vingt-quatre mois de possession. En pratique, un calcul doit être effectué afin de retenir la solution la plus favorable au vendeur. Choisir de payer la taxe sur les plus-values nécessite par ailleurs d'avoir conservé la facture attestant de la date d'achat. A défaut, la solution de la taxe forfaitaire s'impose.
Sous certaines conditions, les oeuvres d'art peuvent être, en cas de succession, intégrées dans le forfait de 5% des meubles meublants.
La loi permet aux propriétaires d'œuvres d'art de régler certains impôts en proposant une œuvre à l'Etat en contrepartie des droits qui sont dus. Cela s'appelle une dation.
La donation sous réserve d'usufruit est exonérée des droits de mutation et permet au donateur de bénéficier d'une réduction de 66%, sur son impôt sur le revenu, de la valeur de la nue-propriété transmise au musée. Cette valeur varie en fonction de l'âge du donateur. Prenons une personne de 56 ans, au revenu imposable de 40.000 euros, qui donne au musée un tableau de 10.000 euros : la valeur de la nue propriété de l'oeuvre s'élève à 5000 euros compte-tenu de son âge, et la réduction de 66 % représente donc 3300 euros, compatible avec le plafond fixé à 20 % du revenu imposable (8000 euros dans ce cas).
Acheter une oeuvre d'art est déductible des bénéfice de l'entreprise
Une entreprise qui achète une œuvre originale peut sous certaines conditions déduire de son résultat annuel, le prix d'achat de l’œuvre acquise.
Façonner et améliorer son image, décorer vos locaux professionnels avec des œuvres originales: hall d'accueil, salle de réunion, bureaux, salle de repos, communs, show room, salle d’attente, cabinet, vitrine, magasins, salles de vente, etc.
Les œuvres doivent être exposées dans un lieu accessible aux salariés, clients, fournisseurs, etc., pendant la durée d'amortissement de l’œuvre, soit 5 ans.
La déduction fiscale effectuée au titre de chaque exercice ne peut dépasser 5 ‰ du chiffre d'affaire annuel de la société.
La déduction sera de 20% du prix d'achat de l’œuvre pendant 5 ans.
Les oeuvres originales d'artistes vivants sont exclues de l'assiette de la taxe professionnelle.
Extrait du Code Général des Impôts correspondant : Art 238 bis AB, acquisition d’œuvres d'art :
Les Sociétés peuvent déduire de leur résultat imposable de coût d'acquisition d’œuvres originales d'artistes vivants inscrites à l'actif immobilisé à condition qu'elles restent exposées au public. Cette déduction s'effectue par fractions égales sur les résultats de l'exercice d'acquisition et les quatre années suivantes pour les œuvres achetées à compter du 1.1.2002 (ou des neuf ou dix-neuf années suivantes pour les autres oeuvres suivant qu'elles ont été acquises à compter du 1.1.1994 ou avant cette date).
La déduction effectuée au titre de chaque exercice, inscrite à un compte de réserve spéciale, ne peut excéder la limite de 5 p.mille du chiffre d'affaires, minorée du total des autres déductions opérées au titre de mécénat.